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Info générale

Armenie

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Langue officielle Arménien
Capitale Erevan - ??????
???
Plus grande ville Erevan
Président Robert Kotcharian
Premier ministre Andranik Margarian
Superficie
- Totale
- Eau (%)
Classé 137e
29 800 km²
4,7%
Population
- Totale (????)
- Densité
Classé 128e
3 326 448 hab.
112 hab./km²
Indépendance
- Date
De l'URSS
21 septembre 1991
Gentilé Arméniens
Monnaie Dram (AMD)
Fuseau horaire UTC +4
Hymne national Mer Hayrenik
Domaine internet .am
Indicatif
téléphonique
+374


Introduction
L'Arménie est un pays du Caucase. Sa capitale est Erevan, la langue officielle est l'arménien et la monnaie est le dram.

Géographie

La superficie de l'Arménie est de 29 800 km2 et sa densité de 111 habitants/km2. L'Arménie est constituée de plateaux et de chaînes de montagnes très élevées. 90 % du territoire se situe à plus de 1 000 mètres d'altitude. Son point culminant historique fut le mont Ararat (5 160 mètres) jusqu'en 1915. Aujourd'hui, le mont Ararat se trouve en Turquie. Le point culminant actuel est donc le mont Aragats, haut de 4 095 mètres. Le paysage arménien se caractérise également par ses lacs, notamment le lac Sevan, un grand lac de 1 400 km2 situé à 60 km à l'est de la capitale. L'Arménie est située au cœur d'une zone qui connaît une grande activité sismique. Le dernier grand tremblement de terre, survenu en 1998, a fait près de 30 000 morts. Le climat est de type continental, la végétation est rare et encore limitée en raison de la déforestation.

Population
En 2006 la population de l'Arménie s'élevait à 2,976,372 habitants. Le chiffre officiel est très surestimé, en réalité il n'y aurait pas plus de 2 millions d'habitants, ceci étant dû à une forte migration non officielle et difficilement quantifiable.
Peu peuplée, l'Arménie jouit du soutien d'une très importante diaspora arménienne à travers le monde : dans la fédération de Russie (1,5 million), au Canada et aux États-Unis (1,2 million), en Afrique (900 000), en Syrie et au Liban (900 000), dans l'union européenne (700 000) et en Amérique latine (200 000).
L'Arménie est toujours historiquement russophile en raison de la pression de ses voisins musulmans.

Culture
L'Arménie est une « poussière de chrétienté » aux frontières du monde musulman. Le christianisme est religion d'État depuis l'an 301 après Jésus-Christ
On se doit de noter la grande richesse de la culture arménienne qui a su surmonter les difficultés de l'histoire. Ainsi, l'Arménie, au fil des siècles, s'est constituée un patrimoine architectural fait de monastères, églises et chapelles grâce à l'implantation de la religion chrétienne. L'art s'est également développé à travers les céramiques ou les enluminures que dessinaient les moines.
La littérature n'est pas en reste et s'est développée au XIXe siècle avec des auteurs tels que Raffi, Toumanian ou encore Demirdjian, aussi bien à l'intérieur du pays qu'en dehors, grâce à la diaspora arménienne.


Histoire

L’Arménie (Hayastan en arménien) fut fondée en 782 avant JC sur le site de l’actuelle Erevan appelée Erebuni. En 301, l’Arménie devient le premier pays où le christianisme est religion d’État.
L’Arménie historique n’a pas les mêmes frontières que la république d’Arménie actuelle, qui n’en est qu’une petite partie. Historiquement, le territoire de l’Arménie s'étendait sur 300 000 km² aux confins du Caucase, de la Turquie et de la Perse (actuel Iran). On ne peut parler de peuple arménien qu'à partir du VIIe siècle av. J.-C., époque à laquelle la région fut investie par un peuple indo-européen qui se mêla à la population locale.

L’histoire de l'Arménie est très chaotique. La région passa par de nombreuses périodes d’indépendance et de soumission. Suite à la conquête de l'empire perse par Alexandre le Grand, l'Arménie subit l'influence grecque, avec la dynastie des Séleucides. En 189 av. JC. Une nouvelle dynastie, les Artaxiades, arrive au pouvoir. Ils doivent faire face aux Parthes, qui ont fondé un nouvel empire en Iran. Le plus grand souverain de la nouvelle dynastie est Tigrane (95-55 av. JC.). Son empire s'étend de la mer Caspienne jusqu'à la Méditerranée. L'expansion de l'Arménie indispose les Romains, qui imposent leur protectorat au pays. Au début de l'ère chrétienne, les Romains et les Parthes se partagent l'Arménie. Au IIe siècle, une nouvelle dynastie iranienne, les Sassanides, profitent de la faiblesse de l'Empire romain pour envahir l'Arménie.

Ce n'est que sous l'empereur Dioclétien que les Romains rétablissent leur protection sur l'Arménie. Ils portent au pouvoir le roi Tiridate III, qui se convertit au christianisme (313). L’Arménie fut ainsi, dès le début du IVe siècle, le premier pays officiellement chrétien, primauté qui lui est cependant quelquefois contestée par la Géorgie voisine. Son territoire fut ensuite envahi par les Arabes par les Turcs seldjukides (XIe siècle) puis par les Mongols (XIIIe siècle) et devint l’objet de luttes entre l’Empire ottoman et l’Empire perse. À partir du XIVe siècle, elle resta sous domination turque.

Les guerres reprirent en 1827, lorsque l’Empire russe commença à avoir des vues sur le nord de l'Arménie. À la fin du XIXe siècle, le territoire fut partagé entre la Russie et l’Empire ottoman. C'est à cette époque que les Turcs se livrèrent aux premiers massacres contre le peuple arménien (1894-1896) vivant sur la partie du territoire qu’ils contrôlaient, c'est-à-dire l’Anatolie orientale ou l'Arménie occidentale. Ces massacres firent environ 150 000 morts.

Le 24 avril 1915, le gouvernement Jeune Turc de l’Empire ottoman décida d’en finir avec la minorité arménienne vivant dans l’actuelle Turquie et organisa la déportation et le massacre de 1500 000 Arméniens, perpétrant ainsi le premier génocide du XXe siècle. L'Arménie occidentale fut vidée de sa population arménienne natale. Ce génocide n'a jamais été reconnu en tant que tel par la Turquie, dont les lois condamnent lourdement ceux qui se posent en défenseur de la cause arménienne.

Après l'effondrement de la Russie en1917 et de l'empire Ottoman (1918), les Arméniens parviennent à créer une république d'Arménie indépendante, à l'existence éphémère (1918-1920). Battus par Kemal Atatürk, les Arméniens se résignent à accepter la protection des Bolcheviques : en 1921, naît la république soviétique d'Arménie, qui ne couvre qu'une petite partie du territoire historique de l'Arménie. Un an plus tard, elle est incluse dans la République socialiste soviétique de Transcaucasie (1922) puis, à partir de 1936,- à l'issue de l'éclatement de la Transcaucasie-, comme République socialiste soviétique à part entière. L’Arménie accéda à son indépendance définitive le 21 septembre 1991 sur l’ancien territoire russe, la partie sud de l’ancienne Arménie restant englobée dans le territoire turc.
Cependant, l’éclatement de l'ancien empire soviétique a dessiné des frontières qui créent des tensions entre Arméniens et Azéris.
En décembre 1920, après la soviétisation de l'Azerbaïdjan, les autorités de la RSS d'AzerbaÏdjan, nouvellement créée, déclaraient renoncer à leurs prétentions sur les territoires litigieux, et reconnaissaient officiellement le droit à l'autodétermination du peuple du Karabagh. Mais ce sont finalement les bolcheviques russes, qui en 1921, après avoir pris le pouvoir en Arménie et créé la RRS d'Arménie, ont décidé du destin du Haut-Karabagh.
Obsédés par l'idée de répandre la « révolution prolétarienne » dans l'Orient musulman, notamment par le truchement de l'Azerbaïdjan vers la Turquie, le bureau caucasien du Comité Central du parti bolchevique alors présidé par Staline, décida le rattachement du Haut-Karabagh à l'Azerbaïdjan, par une décision juridique arbitraire.

Pendant près de 70 ans, le problème est « gelé », et en aucune façon résolu. Durant toute cette période, à intervalles réguliers, la grande majorité des Arméniens du Haut-Karabagh proteste pacifiquement contre les suites de cette décision de 1921, et demandent que soit discutée la possibilité d'une intégration du Haut-Karabagh au sein de l'Arménie. Aujourd’hui, malgré le cessez-le-feu de 1994, cette question n’a toujours pas été réglée.

Economie
Après la chute de l'Union soviétique, les Arméniens durent tout reconstruire, repartant presque de zéro après soixante-dix ans de communisme. Comme dans toutes les autres républiques de la CEI, le passage à l'économie de marché ne s'est pas fait sans mal malgré un important soutien de la diaspora arménienne.
Les entreprises ont été privatisées et un grand effort a été entrepris dans le secteur de l'agro-alimentaire afin de pouvoir assurer rapidement l'indépendance alimentaire du pays.
Néanmoins, l'économie a eu du mal à décoller durant les années 1990, à cause de l'inadaptation de l'outil industriel, le manque d'énergie, de fonds d'investissement et la pauvreté des moyens de communications. Sa croissance fut seulement de 3,3 % en 1997, mais, désormais, la situation semble s'améliorer puisque le PIB avait augmenté de 13,9 % en 2005, faisant de l'Arménie la cinquième plus forte croissance économique mondiale.
Le PIB du pays en 2005 s'élève à 14,45 milliards USD, et le PIB/hab. à 4 800 USD.

L'activité industrielle peut espérer s'appuyer sur quelques ressources minières (cuivre et aluminium) ou sur l'or. Le pays ne possède pas de ressources pétrolières même si des prospections sont menées. L'essentiel des industries est concentré à Erevan, la capitale (construction mécanique, caoutchouc).
D'un point de vue énergétique, l'Arménie a longtemps été dépendante de ses voisins et a souffert de graves pénuries (ni la Turquie, ni l'Azerbaïdjan n'étaient prêts à lui vendre de l'énergie). Les Arméniens ont donc dû prendre la grave décision de redémarrer la centrale nucléaire de Metsamor, (mise à l'arrêt en 1988 sous la pression des écologistes suite au tremblement de terre) afin de pallier à ce déficit énergétique.

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29 800 km²
4,7%
Population
- Totale (????)
- Densité
Classé 128e
3 326 448 hab.
112 hab./km²
Indépendance
- Date
De l'URSS
21 septembre 1991
Gentilé Arméniens
Monnaie Dram (AMD)
Fuseau horaire UTC +4
Hymne national Mer Hayrenik
Domaine internet .am
Indicatif
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Introduction
L'Arménie est un pays du Caucase. Sa capitale est Erevan, la langue officielle est l'arménien et la monnaie est le dram.

Géographie

La superficie de l'Arménie est de 29 800 km2 et sa densité de 111 habitants/km2. L'Arménie est constituée de plateaux et de chaînes de montagnes très élevées. 90 % du territoire se situe à plus de 1 000 mètres d'altitude. Son point culminant historique fut le mont Ararat (5 160 mètres) jusqu'en 1915. Aujourd'hui, le mont Ararat se trouve en Turquie. Le point culminant actuel est donc le mont Aragats, haut de 4 095 mètres. Le paysage arménien se caractérise également par ses lacs, notamment le lac Sevan, un grand lac de 1 400 km2 situé à 60 km à l'est de la capitale. L'Arménie est située au cœur d'une zone qui connaît une grande activité sismique. Le dernier grand tremblement de terre, survenu en 1998, a fait près de 30 000 morts. Le climat est de type continental, la végétation est rare et encore limitée en raison de la déforestation.

Population
En 2006 la population de l'Arménie s'élevait à 2,976,372 habitants. Le chiffre officiel est très surestimé, en réalité il n'y aurait pas plus de 2 millions d'habitants, ceci étant dû à une forte migration non officielle et difficilement quantifiable.
Peu peuplée, l'Arménie jouit du soutien d'une très importante diaspora arménienne à travers le monde : dans la fédération de Russie (1,5 million), au Canada et aux États-Unis (1,2 million), en Afrique (900 000), en Syrie et au Liban (900 000), dans l'union européenne (700 000) et en Amérique latine (200 000).
L'Arménie est toujours historiquement russophile en raison de la pression de ses voisins musulmans.

Culture
L'Arménie est une « poussière de chrétienté » aux frontières du monde musulman. Le christianisme est religion d'État depuis l'an 301 après Jésus-Christ
On se doit de noter la grande richesse de la culture arménienne qui a su surmonter les difficultés de l'histoire. Ainsi, l'Arménie, au fil des siècles, s'est constituée un patrimoine architectural fait de monastères, églises et chapelles grâce à l'implantation de la religion chrétienne. L'art s'est également développé à travers les céramiques ou les enluminures que dessinaient les moines.
La littérature n'est pas en reste et s'est développée au XIXe siècle avec des auteurs tels que Raffi, Toumanian ou encore Demirdjian, aussi bien à l'intérieur du pays qu'en dehors, grâce à la diaspora arménienne.


Histoire

L’Arménie (Hayastan en arménien) fut fondée en 782 avant JC sur le site de l’actuelle Erevan appelée Erebuni. En 301, l’Arménie devient le premier pays où le christianisme est religion d’État.
L’Arménie historique n’a pas les mêmes frontières que la république d’Arménie actuelle, qui n’en est qu’une petite partie. Historiquement, le territoire de l’Arménie s'étendait sur 300 000 km² aux confins du Caucase, de la Turquie et de la Perse (actuel Iran). On ne peut parler de peuple arménien qu'à partir du VIIe siècle av. J.-C., époque à laquelle la région fut investie par un peuple indo-européen qui se mêla à la population locale.

L’histoire de l'Arménie est très chaotique. La région passa par de nombreuses périodes d’indépendance et de soumission. Suite à la conquête de l'empire perse par Alexandre le Grand, l'Arménie subit l'influence grecque, avec la dynastie des Séleucides. En 189 av. JC. Une nouvelle dynastie, les Artaxiades, arrive au pouvoir. Ils doivent faire face aux Parthes, qui ont fondé un nouvel empire en Iran. Le plus grand souverain de la nouvelle dynastie est Tigrane (95-55 av. JC.). Son empire s'étend de la mer Caspienne jusqu'à la Méditerranée. L'expansion de l'Arménie indispose les Romains, qui imposent leur protectorat au pays. Au début de l'ère chrétienne, les Romains et les Parthes se partagent l'Arménie. Au IIe siècle, une nouvelle dynastie iranienne, les Sassanides, profitent de la faiblesse de l'Empire romain pour envahir l'Arménie.

Ce n'est que sous l'empereur Dioclétien que les Romains rétablissent leur protection sur l'Arménie. Ils portent au pouvoir le roi Tiridate III, qui se convertit au christianisme (313). L’Arménie fut ainsi, dès le début du IVe siècle, le premier pays officiellement chrétien, primauté qui lui est cependant quelquefois contestée par la Géorgie voisine. Son territoire fut ensuite envahi par les Arabes par les Turcs seldjukides (XIe siècle) puis par les Mongols (XIIIe siècle) et devint l’objet de luttes entre l’Empire ottoman et l’Empire perse. À partir du XIVe siècle, elle resta sous domination turque.

Les guerres reprirent en 1827, lorsque l’Empire russe commença à avoir des vues sur le nord de l'Arménie. À la fin du XIXe siècle, le territoire fut partagé entre la Russie et l’Empire ottoman. C'est à cette époque que les Turcs se livrèrent aux premiers massacres contre le peuple arménien (1894-1896) vivant sur la partie du territoire qu’ils contrôlaient, c'est-à-dire l’Anatolie orientale ou l'Arménie occidentale. Ces massacres firent environ 150 000 morts.

Le 24 avril 1915, le gouvernement Jeune Turc de l’Empire ottoman décida d’en finir avec la minorité arménienne vivant dans l’actuelle Turquie et organisa la déportation et le massacre de 1500 000 Arméniens, perpétrant ainsi le premier génocide du XXe siècle. L'Arménie occidentale fut vidée de sa population arménienne natale. Ce génocide n'a jamais été reconnu en tant que tel par la Turquie, dont les lois condamnent lourdement ceux qui se posent en défenseur de la cause arménienne.

Après l'effondrement de la Russie en1917 et de l'empire Ottoman (1918), les Arméniens parviennent à créer une république d'Arménie indépendante, à l'existence éphémère (1918-1920). Battus par Kemal Atatürk, les Arméniens se résignent à accepter la protection des Bolcheviques : en 1921, naît la république soviétique d'Arménie, qui ne couvre qu'une petite partie du territoire historique de l'Arménie. Un an plus tard, elle est incluse dans la République socialiste soviétique de Transcaucasie (1922) puis, à partir de 1936,- à l'issue de l'éclatement de la Transcaucasie-, comme République socialiste soviétique à part entière. L’Arménie accéda à son indépendance définitive le 21 septembre 1991 sur l’ancien territoire russe, la partie sud de l’ancienne Arménie restant englobée dans le territoire turc.
Cependant, l’éclatement de l'ancien empire soviétique a dessiné des frontières qui créent des tensions entre Arméniens et Azéris.
En décembre 1920, après la soviétisation de l'Azerbaïdjan, les autorités de la RSS d'AzerbaÏdjan, nouvellement créée, déclaraient renoncer à leurs prétentions sur les territoires litigieux, et reconnaissaient officiellement le droit à l'autodétermination du peuple du Karabagh. Mais ce sont finalement les bolcheviques russes, qui en 1921, après avoir pris le pouvoir en Arménie et créé la RRS d'Arménie, ont décidé du destin du Haut-Karabagh.
Obsédés par l'idée de répandre la « révolution prolétarienne » dans l'Orient musulman, notamment par le truchement de l'Azerbaïdjan vers la Turquie, le bureau caucasien du Comité Central du parti bolchevique alors présidé par Staline, décida le rattachement du Haut-Karabagh à l'Azerbaïdjan, par une décision juridique arbitraire.

Pendant près de 70 ans, le problème est « gelé », et en aucune façon résolu. Durant toute cette période, à intervalles réguliers, la grande majorité des Arméniens du Haut-Karabagh proteste pacifiquement contre les suites de cette décision de 1921, et demandent que soit discutée la possibilité d'une intégration du Haut-Karabagh au sein de l'Arménie. Aujourd’hui, malgré le cessez-le-feu de 1994, cette question n’a toujours pas été réglée.

Economie
Après la chute de l'Union soviétique, les Arméniens durent tout reconstruire, repartant presque de zéro après soixante-dix ans de communisme. Comme dans toutes les autres républiques de la CEI, le passage à l'économie de marché ne s'est pas fait sans mal malgré un important soutien de la diaspora arménienne.
Les entreprises ont été privatisées et un grand effort a été entrepris dans le secteur de l'agro-alimentaire afin de pouvoir assurer rapidement l'indépendance alimentaire du pays.
Néanmoins, l'économie a eu du mal à décoller durant les années 1990, à cause de l'inadaptation de l'outil industriel, le manque d'énergie, de fonds d'investissement et la pauvreté des moyens de communications. Sa croissance fut seulement de 3,3 % en 1997, mais, désormais, la situation semble s'améliorer puisque le PIB avait augmenté de 13,9 % en 2005, faisant de l'Arménie la cinquième plus forte croissance économique mondiale.
Le PIB du pays en 2005 s'élève à 14,45 milliards USD, et le PIB/hab. à 4 800 USD.

L'activité industrielle peut espérer s'appuyer sur quelques ressources minières (cuivre et aluminium) ou sur l'or. Le pays ne possède pas de ressources pétrolières même si des prospections sont menées. L'essentiel des industries est concentré à Erevan, la capitale (construction mécanique, caoutchouc).
D'un point de vue énergétique, l'Arménie a longtemps été dépendante de ses voisins et a souffert de graves pénuries (ni la Turquie, ni l'Azerbaïdjan n'étaient prêts à lui vendre de l'énergie). Les Arméniens ont donc dû prendre la grave décision de redémarrer la centrale nucléaire de Metsamor, (mise à l'arrêt en 1988 sous la pression des écologistes suite au tremblement de terre) afin de pallier à ce déficit énergétique.

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