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Dubaï : attention à la législation locale...
L'écho médiatique prenait trop d'ampleur. Une jeune Norvégienne de 26 ans, après qu'elle ait portée plainte pour viol, avait été condamnée à 16 mois de prison pour les autorités de Dubai pour relation sexuelle hors mariage... Elle aura finalement été libérée trois jours plus tard.
Les Britanniques s'étaient déjà emportés contre l'Emirat il y a trois ans, lorsqu'un couple britannique avait déjà été condamné à un mois de prison ferme et expulsé ensuite de l'Emirat - le jeune homme de 24 ans y résidait, elle était de passage - pour s'être embrassé furtivement dans un restaurant huppé. Une femme
replica watches les avait dénoncé et ils avaient été immédiatement incarcérés.
La même année, un employé britannique des Nations-Unies de 34 ans, en correspondance à l'aéroport de Dubaï, avait été arrêté quelques minutes à peine après son atterrissage à l'escale de Dubaï et rapidement condamné à deux mois de prison ferme pour avoir fait un «doigt d'honneur» à une employée de l'aéroport qui lui avait refusé l'usage d'un téléphone.
Signe qu'on ne plaisante pas avec la loi religieuse, un couple de non-musulman - un Libanais et une Russe - avaient été condamné il y a deux ans à 272 dollars d'amendes chacun pour avoir bu une boisson en public durant le jeûne du ramadan.
Dubaï, faut-il le préciser, est considéré comme le plus permissif des Emirats et des monarchies du Golfe...
Ces condamnations absurdes n'ont pourtant rien de comparables avec celles sanctionnant les consommateurs de drogues, douces ou dures, quelle que soit la quantité. Ainsi, un Belge de 35 ans arrêté à l'aéroport de Dubai a été condamné à quatre ans de prison par un tribunal de l'Emirat, pour possession d'une cigarette de haschisch et de marijuana. Le trafic est lui passible de la peine de mort...
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